Notice biographique

Renseignements personnels

Disciplines : art numérique, peinture, collage, dessin, mix-média, vidéo, installation, photographie
Langues parlées et écrites : français, anglais, allemand

Formation 
Études académiques :
2010, Master 2 cinéma, Université Paris Ouest Nanterre, Nanterre, France
2008, Master 1 cinéma, Sorbonne Nouvelle, Paris, France
2007, Master 1 cinéma, Panthéon Sorbonne, Paris, France
2006, Ingénierie des arts de l’image et des spectacles vivants, Université de Valenciennes, Valenciennes, France

Diffusion des œuvres
21 février 2015, The Yards DC, Laser Cat,  Washington, DC, États-Unis 
20 novembre 2014, Manhattan Bridge, Laser Cat DUMBO, New York, États-Unis
5 juin 2014, Laser Cat, Barcelone, Espagne
9 avril 2014, Laser Cat, Miami, États-Unis
7 mars 2014, See Me, New-York, États-Unis
3-8 décembre 2013, Miami Beach Scope, See Me, Miami, États-Unis
5 octobre 2013, Linc LIC Building, See Me, New-York, États-Unis
Octobre 2006, Centre Pompidou, Festival du film Pocket, Paris, France
Démarche artistique



Tout commence par le mythe de la caverne, et cette impression que tout ce qui nous entoure est simulacre. La recherche par l’art d’un monde invisible : l’au-delà, la féerie, la mort.
Je cherche à exprimer cette idée du vrai, du beau, cette image qui se cache à la vue. Je veux montrer ce qu’on ne peut pas dire, qu’on n’arrive pas à exprimer. Je veux révéler l’invisible.
Si la mort a été la porte vers l’invisible, la femme en a été le sujet. Mes angles de traitement sont engagés, sociaux, mais avant tout formalistes.
Mon inspiration vient du quotidien vu par le prisme des contes, de la mythologie gréco-romaine, de la Bible, des mangas, de la Renaissance italienne et de l’expressionisme allemand.
Ma production se nourrit d’emprunts et de réinterprétation, je la qualifie volontiers de postmoderne.
Mon travail s’inscrit à la suite du pop art, une vague kitsch, qui cherche à élever l’art populaire de moitié et baisser l’art haut de moitié. En effet, ma production se réfère à la Renaissance et à la culture populaire.
Mon questionnement consiste à saisir l’indicible. Ma préoccupation sur le plan esthétique est la même. Que cache le médium ? Jusqu’où peut-on aller ? Peut-il se mélanger à d’autres média ?
Le sujet de ma démarche est : que se cache-t-il derrière le miroir ?
Le thème principal de cette démarche est la mort. La société occidentale contemporaine cherche à nier la mort. Tous les signes relatifs à sa présence, tels que la vieillesse, la maladie, le mal-être et le désespoir, sont scrupuleusement effacés. L’injonction du bonheur enferme la société dans un mirage. La mort est un révélateur. L’image ne tient plus devant la réalité de la finitude. Les éléments principaux de la mort, qui font l’objet de ma recherche, sont la disparition, la solitude, l’abandon, le désespoir, la terreur.
Ma position sur la mort est qu’elle doit quitter les portes de la ville pour retrouver sa place au cœur de la cité. L’interaction entre la mort et la vie permettrait alors d’ouvrir la porte sur une autre forme de réalité, loin du simulacre, l’essence de l’être.
Arts visuels
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